Domage:
- tracé effectif de la paire
un peu plus de 1500 Km
L'incident avec un poêle au Kazakhstan ayant fait mourir mes
Meindl Himalaya prématurément j'ai du me procurer une nouvelle paire en Chine. Après 2 rotations avec les Meindl étant habitué à chausser du cuir je me suis donc dirigé vers les Forclaz 700. Évidement on ne peut pas comparer des Meindl avec des Quechua mais elles ne font qu'une fraction du prix. Avec le prix d'une paire de
Meindl Himalaya ou peu acheter 3 foreclaz 700, au prix chinois du moins. Le rapport semble être moins avantageux avec les prix pratiquer en France.
La chaussure est confortable dans l'ensemble. Le problème de cette chaussures est sa
respirabilité. Je n'avait marché avant qu'en chaussure en toile ou goretex+cuir. Et j'avais entendu que le tout cuir était aussi respirant voir plus sur le long terme. Il faut croire que ça ne s'applique pas à ce modèle.
Il faut dire que le début de cette paire c'est fait dans des conditions particulièrement éprouvantes. La transition désert de Takelamakan / hauts plateaux tibétains puis la traversée de ces derniers. Le début était donc très arides mais malgrés cette aridité l'intérieur de la chaussure était toujours moite du fait de sa
mauvaise respirabilité. Si bien qu'a peine au bout d'un mois le cuir de revêtement de la semelle intérieur commença à s'abimer et se détacher de la sous-couche en mousse.
La traversée des hauts plateaux tibetains qui suivi aggrava le problème. Nous avions un sac avoisinant les 30 kg et marchions avec un taux d'humidité assez conséquent du fait des fréquentes précipitations. Si bien que le revêtement intérieur en cuir de la semelle intérieur en premier mais suivi de tout le chausson interieur commença a pourrir littéralement. Il en résultait une
odeur assez désagréable aux relents de charogne au moment de retirer les chaussures.
Cette mauvaise réspirabilité à fait donc mourir de façon prématuré le revêtement intérieur de la chaussure alors que, comme vous pouvez le voir sur les photos, le revêtement extérieur et la semelle eux tenaient bien la distance. Mais les mousses d'isolation commençaient à se barrer et je devait arracher de gros morceaux de cuir qui flottaient. Et puis surtout toujours cette odeur qui pourrissait les chaussettes même après seulement quelques heures dans ces chaussures m'a donc forcer à les
abandonner prématurément pour retourner à mes premières amours les
Meindl Himalaya. Reste à voir comment les Meindl Himalaya se comporteront sous les tropiques.
Après 2 mois de marche:Après 6 mois de marche: